Comprendre la bioélectronique de Vincent

La bioélectronique de Vincent est une technologie révolutionnaire qui a le potentiel de changer la manière dont les appareils médicaux sont conçus et utilisés. Elle a été développée par le professeur Vincent, un scientifique français qui a consacré des années à comprendre la façon dont les appareils électroniques peuvent être utilisés pour améliorer la santé humaine. Dans cet article, nous allons examiner les concepts fondamentaux de la bioélectronique de Vincent et comment ils peuvent être appliqués à la conception et à l’utilisation d’appareils médicaux innovants. Nous examinerons également les possibilités et les avantages de cette technologie pour le secteur de la santé et les consommateurs. Enfin, nous examinerons l’impact de la bioélectronique de Vincent sur le futur de la santé et la médecine.

Comprendre la bioélectronique de Vincent

Au début du vingtième siècle, la bioélectronique de Vincent a fait son apparition et offre un grand potentiel pour évaluer nos environnements, la qualité de l’eau et notre équilibre personnel ou bien-être général. Son objectif est de trouver une solution respectueuse de l’environnement pour déterminer, identifier et rectifier un terrain : en dehors de nous ou à l’intérieur de notre corps. Voyons comment la bioélectronique de Vincent s’applique à notre vie quotidienne, et plus particulièrement à nos eaux de consommation.

Qu’est-ce que la bioélectronique ?

La bioélectronique est une science énergétique qui unit l’électronique et la biologie. Elle a été créée en 1948 par Louis-Claude Vincent, un hydrologue français, avec l’aide de Dr Jeanne Rousseau et d’autres scientifiques étrangers. Elle étudie les courants électriques et magnétiques à température donnée d’un liquide physiologique, d’un aliment, d’un terrain, etc. Elle analyse toutes les solutions aqueuses en utilisant trois paramètres physico-chimiques : le pH, le rH2 (potentiel d’oxydo-réduction) et la résistivité.

L’histoire

Louis-Claude Vincent, ingénieur en travaux d’hygiène publique, s’est aperçu que les dysfonctionnements de la population française étaient liés à la qualité de l’eau consommée par les individus. Il a découvert que cette eau était « artificiellement potable » par des traitements chimiques, et qu’elle était alcaline et très minéralisée, donc oxydante et oxydée. Il a alors mis en place les principes de la bioélectronique, qui sont applicables à tous les milieux aqueux. Depuis, plusieurs scientifiques s’intéressent à cette technique et s’efforcent de la populariser.

La technique

La bioélectronique de Vincent (ou BEV) parle en réalité de nos besoins énergétiques et de l’énergie fondamentale qui compose tout. Elle propose donc de consommer des aliments et une eau remplis d’énergie et de refuser ceux qui en sont dépourvus. Pour mesurer les trois paramètres (pH, rH2, résistivité), on utilise un bioélectronimètre de Vincent. Ces données sont ensuite classées dans un graphique à quatre zones appelé bioélectronigramme qui, d’après Vincent, permettent de déterminer un état de santé. Initialement conçue pour protéger la santé des personnes à travers l’analyse des fluides, la bioélectronique étudie les sang, urine et salive pour déterminer leur état de santé.

Mouvement perpétuel de l’eau

En étudiant l’eau, Vincent a découvert que la nature de celle-ci est de bouger continuellement. La qualité de l’eau est principalement déterminée par son écoulement qui modifie sa structure et ses propriétés. La stagnation de l’eau, par exemple, réduit sa résistivité, que nous aborderons plus bas.

Sur un plan plus symbolique et universel, nous pouvons dire beaucoup de choses à propos de cet élément qu’est l’eau. En fait, nous sommes nés dans l’eau, nous sommes faits à partir d’eau et nous vivons dans l’eau. L’eau est l’un des composants les plus abondants sur Terre et il est donc logique de considérer que sa qualité est aussi importante que sa quantité. L’eau est le liquide le plus précieux que la nature nous a donné : elle peut améliorer notre bien-être ou le détériorer.

L’eau a également des propriétés thérapeutiques établies. Elle contient des minéraux et des « informations » dont l’action a un effet bénéfique, à condition de maintenir une qualité stricte dans ces trois critères : le milieu dans lequel elle se déplace, la vitesse de son écoulement et sa température. Ces 3 critères, ainsi que les paramètres fondamentaux (pH, rH2, résistivité), constituent la base de la structure biologique de l’eau et en font un véritable moteur de la vie biologique.

Deux mots-clés sont à retenir concernant la consommation : quantité et qualité. Voyons ce que signifie « eau de qualité » selon la bioélectronique de Vincent.

La qualité des liquides selon la bioélectronique de Vincent

La santé découle de l’équilibre électromagnétique du corps, et la bioélectronique est un moyen de mesurer ce point de déséquilibre. Les analyses de Louis-Claude Vincent ont révélé quatre variétés d’eau : 

  • les eaux thermales (acide et réducteur) ;
  • les eaux parfaites (acide et peu minéralisées) ; 
  • les eaux traitées (alcalines et oxydées) ;
  • et les eaux polluées (alcalines et réductrices). 

L’eau joue un triple rôle : transporter, réguler et éliminer. Ces fonctions ne peuvent être correctement exécutées que si l’eau de boisson répond à certaines caractéristiques.

Selon la bioélectronique de Vincent et la vision naturopathique, l’eau optimale doit avoir : 

  • un pH entre 5,5 et 6,8 ;
  • un Rh2 entre 25 et 28 ;
  • une résistivité supérieure à 6000 ohms ;
  • moins de 120 mg de résidus secs / litre. 

Cette dernière indication se trouve habituellement sur les étiquettes des eaux en bouteille. En somme, l’eau optimale doit être légèrement acide, peu minéralisée, antioxydante et revitalisante. Seules les eaux parfaites correspondant à ces critères sont adaptées à la consommation. Pour améliorer la qualité de l’eau, vous pouvez recourir à des filtres à osmose inverse et le rendre dynamique (tourbillons, aimants, etc.).

Les 3 coordonnées essentielles de l’eau selon la bioélectronique de Vincent

Selon la bioélectronique de Vincent, l’eau de boisson du quotidien doit répondre à des critères bien spécifiques tels que son pH, le rH2 et la résistivité. Voyons ce que signifient ces données énergétiques qui nous parlent de la qualité de l’eau.

Le potentiel hydrogène (pH) ou facteur magnétique

Également connu sous le nom de « facteur magnétique », le potentiel hydrogène (pH) de l’eau nous indique son alcalinité ou son acidité : c’est l’équilibre acido-basique. L’échelle du pH est comprise entre 0 et 14, avec 7 étant la position de neutralité. Selon les paramètres de la bioélectronique de Vincent, une eau de qualité doit avoir un pH légèrement acide, soit entre 5,5 et 6,8 ; 7,5 au maximum. Plus une eau est acide (pH < 7), plus elle est chargée en protons (ions hydrogène H+) et en activité magnétique.

Le rH2 ou facteur électrique

Le rH2 est également connu sous le nom de « potentiel d’oxydo-réduction » et plus communément « potentiel redox ». Cette mesure varie dans une échelle allant de 0 à 42, 28 étant la neutralité. Le facteur électrique nous renseigne sur le potentiel antioxydant de l’eau et sa richesse en électrons. Une eau est considérée comme réductrice, donc antioxydante, si son rh2 est légèrement inférieur à 28 ou compris entre 25 et 28. Si la solution observée ne correspond pas à ces mesures, on parle d’une composition « oxydante », c’est-à-dire qui capture les électrons du corps en créant des radicaux libres.

La résistivité, conductivité ou facteur diélectrique

Le facteur diélectrique, aussi connu sous le nom de « résistivité », s’exprime en unités Rô ou en Ohm Ω. Le Rô est le facteur de concentration de salinité en électrolytes d’une solution, c’est-à-dire sa concentration minérale. Plus le Rô est haut, plus il s’agit d’une eau peu minéralisée. Il est important de retenir que l’eau est beaucoup plus intéressante pour ce qu’elle enlève que pour ce qu’elle apporte. Les minéraux contenus dans les eaux en bouteille sont souvent « morts », ce qui signifie qu’ils ne sont pas assimilables et peuvent être néfastes pour notre corps. L’eau de consommation idéale doit donc être peu minéralisée.

Compléments alimentaires OxyPhyteau

Les compléments alimentaires OxyPhyteau s’appuient sur la phytothérapie et la bioélectronique de Vincent, pour proposer des produits de haute qualité. Chaque extrait de plante est contrôlé et classé selon les critères de la bioélectronique. Ces produits se placent dans la « zone de construction de vie » acide et réductrice. Leurs analyses pointues garantissent une qualité optimale et une excellente assimilabilité par l’organisme. Notre gamme comprend plus de 34 références en ampoules à base de plantes seules ou en complexes, à découvrir sur le site de La Vie Naturelle !

Bilan

En conclusion, la bioélectronique s’avère très utile pour évaluer l’état général des personnes et des animaux, ainsi que pour déterminer la qualité biologique de diverses boissons et aliments, ainsi que des méthodes de filtration d’eau du robinet. Cela nous permet de prendre des décisions plus sensées et plus sûres en termes d’alimentation, de mode de vie et de produits agricoles pour notre bien-être. La bioélectronique de Vincent représente une vraie technologie sanitaire d’intérêt public qui gagnerait à être plus répandue, notamment afin d’améliorer la qualité de l’eau qui circule chez nous.

Portrait d’Emma Bagamyan

 

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