Le cancer de prostate est enregistré chez une multitude d’hommes. Il est précisément plus enregistré au niveau des hommes ayant dépassé la cinquantaine. Pour 90% des patients atteints, le pronostic vital est généralement bon. Cependant, ce pronostic vital peut varier d’un patient à un autre selon le stade auquel le diagnostic est établi. Éclairage sur la progression de la pathologie et le risque d’en mourir.
Comment le cancer de la prostate progresse-t-il ?
La tumeur cancéreuse prostatique affecte l’un des principaux organes de l’appareil de reproduction masculin : la prostate. Cette maladie peut avoir des causes diverses et variées. Quelle que soit la nature du patient atteint, les divers stades de la tumeur sont les mêmes. En effet, pour faciliter la thérapie du cancer de prostate, les médecins catégorisent la progression de la tumeur en fonction de l’étendue et de la zone affectée au moment du diagnostic.
Le stade localisé
C’est le premier stade auquel le cancer prostatique peut être diagnostiqué chez l’homme. À cette étape de son évolution, la tumeur n’est pas encore sortie de la prostate. La propagation n’a donc pas encore atteint les tissus voisins ou des organes éloignés. À ce moment précis, il est possible de traiter aisément ce cancer grâce à des produits dédiés. Vous aurez plus d’informations ici à propos desdits produits.
Le stade localement avancé
À cette deuxième étape de l’avancement du cancer, la tumeur n’est plus localisée au sein de l’organe. Elle s’est déjà répandue en dehors de l’organe. Toutefois, elle n’atteint pas encore les organes lointains ou les ganglions lymphatiques.
Le stade métastatique
Il s’agit d’un stade plus ou moins assez évolué de la pathologie chez l’homme. Ici, les tissus alentour de la prostate de même que les ganglions lymphatiques éloignés sont déjà atteints. Cette dernière peut aussi atteindre les organes d’à côté, comme :
- le foie,
- les poumons
- les os.
Le traitement des symptômes est un peu plus compliqué quand le diagnostic est établi à ce stade. Le risque est également plus élevé concernant le temps de vie restant au patient.
Notez que le développement du cancer de prostate dans les cellules peut aussi se classifier autrement. On distingue ainsi dans l’ordre les stades T1 et T2 (localisé à la prostate) puis T3 et T4 (localement avancé).
Quels facteurs influencent-ils le pronostic vital d’un malade ?
L’un des principaux facteurs impactant l’espérance de vie dans ce cas, c’est l’évolution de la pathologie. C’est par ailleurs le stade du cancer qui permet d’estimer le risque de récidive. La considération d’autres facteurs est aussi décisive pour établir le pronostic vital. Il s’agit de :
- l’agressivité de la tumeur ;
- l’efficacité des traitements locaux administrés ;
- le type de tumeur ;
- la réponse aux traitements hormonaux.
En outre, la volonté du patient atteint, sa santé globale ainsi que son projet de vie peuvent agir sur son espérance de vie.
Quel est le risque de mourir du cancer prostatique ?
Détecté aux stades deux premiers stades, le cancer de la prostate offre un pronostic vital très positif. Le risque de mourir de cette maladie est quant à lui plus élevé lorsqu’elle est détectée au stade T3 ou T4.
Par ailleurs, le pronostic vital du patient ne dépend pas uniquement du stade du cancer. Plusieurs autres statistiques doivent aussi être prises en compte dans la détermination du taux de survie ou de guérison du patient.
